Folayeries den le beghin Anita R. pour le CAC Sud 22
Ça taet den les dârains ! Les journées du patrimouene passite e j’etions tertout periës a viziter des miles d’endrets qi fute vrai conseqents den l’istouere de France. Je taes mai su le trot den les dârains-la e je sieuvis ene vizite raport ao beghin den le Grand Paris. E vaila qe je decouvris beleben de ghiments maitië pâs creyabl !
Permier qheuqes chiffrs : Vous savéz-ti qe ça fèt 124 ans de temp q’i fut minz ao roule ? E mézë, le beghin de Paris, c’ét 256 qhilomètrs de rails, 320 estacions, 4,5 milions de de vayaijes chaqe jou. E j’apris méme q’un angllaez folaod vrai folaod se mit en decide de cheminer su toutes les lignes du metro a sieudr : i gangnit le record en 13 oures 37 minutes e 54 segondes.
Long les années, des istoueres forte a crere s’y passite. Durant la segonde ghere, de 1939 a 1945, le beghin, taet core a rouler. Raport qe les bombes taent a chaer su Paris, des miles de demeurants s’aberyite den les estacions. Den la vile… ou pus fort sous la vile, c’ét 6 estacions qi sont cllozes raport qe n-i araet ren q’un petit de vayaijous a l’z’abiener. Dede’la invencion d’y aler, e n-i a pâs ren qe qheuqes trains qi sont garës. Sembele qe cheminer en deden ét net emayant !
N-i a qheuqes années des guerzillons fute chareyës diq’ao Grand-Paris. Les bibites-la alite se nijer den le beghin eyou q’i terouite du bourier a se nouri. És jous-li, i sont pus en deden bé-sur, meins pour n-en garder la souvenance, den qheuqes estacions, nen peut oui des sons qi tirent den lous chant. En 2012, figur’ous q’un menou de cherte s’ereurit : i creyaet qe ça taet l’entrée d’ene garerie sourterre e i alit dret den les degrës.
Chaqe jou, c’ét pus de 1300 baraciaos qi sont adirës den le beghin. Si qe je vous fès l’afilonjée du cai-la, vous seréz vrai ebaobis : ene bouète cenderie plleine, ene cote de noces, des skis, un biniou e… un cho d’aligator !!! Pour abouter, je sonje qe c’ét vrai de la qenûe pour vous z’aotrs qe le pere du beghin ét un Berton, Fulgence Bienvenüe, q'il a nom, në-natif d’Uzè. Vrai qheuru, il ouvraijit pour le beghin diq’a ses 80 ans d’âje. Son nom fut méme donë a l’estacion Montparnasse raport qe c’ét ilë qe les Bertons s’erivent cant q’i vont su Paris.
Mézë v’etes enghimentës su les istoueres maitië pâs creyabls du beghin de Paris. Ventiés ben qe bétot, i n-n’i ara aotant de contes a dire su le beghin de Rene !
Folies dans le métro !
C’était le week-end dernier ! Les journées du patrimoine ont eu lieu et nous étions tous invités à visiter des milliers de lieux important dans l’histoire de France. Moi, j’étais partie ce week-end et j’ai suivi une visite sur le métro de Paris. E j’ai donc découvert tout un tas d’informations vraiment incroyables !
Tout d’abord, quelques chiffres : savez-vous que ça fait 124 ans qu’il fonctionne ? Et depuis, le métro de Paris, c’est 256 kilomètres de rails, 320 stations, 4,5 millions de voyages chaque jour. Et j’ai même appris un anglais vraiment fou avait décéidé de circuler sur toutes les lignes à suivre : il a réussit le record en 13 heures 37 minutes et 54 secondes.
Toutes ces années, des histoires vraiment incroyables s’y sont passées. Pendant la seconde guerre mondiale, de 1939 à 1945, le métro circulait encore. Comme les bombes tombaient sur Paris, des milliers d’habitants se sont réfugié dans les stations. Dans la ville… ou plutôt sous la ville, il y a 6 stations fermées car ce serait des stations trop peu fréquentées. Du coup, interdiction d’y entrer et il y a juste quelques trains qui y sont garés. Il semblerait q’y circuler est très effrayant !
Il y a quelques années des grillons ont été transportés à Paris. Ces insectes se sont réfugiés dans le métro où ils ont trouvé des détritus pour se nourrir. Aujourd’hui, ils ont disparu bien sûr, mais pour le souvenir, dans quelques stations, on peut entendre des sons qui ressemblent à leur chant. En 2012, figurez-vous qu’un conducteur de voiture s’est trompé : il croyait que c’était l’entrée d’un parking souterrain et il a foncé dans les escaliers.
Chaque jour, ce sont 1300 objets qui sont perdus dans le métro. Si je vous fais la liste de ces objets, vous serez bien étonnés : une urne funéraire pleine, une robe de mariée, des skis, une cornemuse et… un crâne d’alligator !!! Pour terminer, je pense que vous savez que le père du métro est un Breton, Fulgence Bienvenüe, né à Uzel. Bien courageurx, il a travaillé pour le métro jusque ses 80 ans. Son nom a même été donné à la station Montparnasse car c’est celle où les Bretons arrivent quand ils vont à Paris.
Désormais, vous voilà informés sur les histoires incroyables du métro de Paris. Peut-être bien que bientôt, il y aura autant d’histoires à raconter sur le métro de Rennes !