Le Vendée Globe, eune course escarabl !

Le Vendée Globe, c’ét la courserie de batiaos la pus de la qenûe ! Les mariaos les pus qheurus se n-n’alent a fére le tour du monde. Meins faot se doner garde, n-i a des rèles : eune persone tout soule den le batè, pouint d’aretâ su la terre e pouint aoqhune aide en mè. Vaila q’ét eune courserie maitië pâs creyabl q’ét minze ao roule pâs ren q’eune fai tous les 4 ans de temp. E c’ét justenement le 10 de novembr qe les esportifs se n-n’alite. I vont demeurer és entours de 3 mouéz de temp su la mè e je savons ben qe ce sera pâs ben d’amain de manjer, terouer son dormi, se souegner ou core se defumer la téte a son éze.

Le coursou ét tout sou su son batè, il ét encherjë de la tecniqe, d’etudier les cartes, de fére des chouéz raport a la meteyo, a la rote a sieudr… L’abutement ét d’aler le pus vitement sans qe ça seraet risqant de trop. Invencion bé sur de fére des comissions, les permiers jous le coursou manje don de la vivature fréche meins après c’ét des bouétes de manjer especia pour durer.

Dusse de s’ercaopi ! Invencion d’avair tout son dormi raport qe n-i a de se doner garde tenant. Le coursou ét amouerdë de journée come de netée a fére pâs ren qe des petites chopées, tout pouillë. Il a d’étr en capabletë de s’aqener e de revailler vitement. Durant q’il ét a meriener, ça se mettraet a brinder si qe ça devienraet gandilleuz de trop !

La souégnerie ét etout de son fezi. Avant la partance, le coursou a de sieudr un estaije de medecine pour aprendr a s’en chevi. Den le cas eyou qe ça seraet conseqent ben de trop, i peut tout come haoper un medecin.

Aloure le coursou ét tout sou meins il a l’internet e dede’la il ét tenant en lian d’o la terre. Permier, un coupl de fai chaqe jou, les amarous de la course le haopent a vaer si qe ça joue. E pès i peut haoper son monde a son bada. Je pouons tout come étr en paine su coment i fèt pour se decrasser : permier i gate son iao ou aotr den un siao e i met tout le cai-la den la mè. I peut etout prendre eune etrinchette en tirant le së de deden l’iao de la mè.

Pour mettr bout a fin, le cai q’ét conseqent c’ét de se defuter. Dede’la il a de la sonerie, des livrs, des fimes… a sour fin d’ombller le brut qe n-i a su le batè. Eune petite derompe ét de metier ! Come ben des fais, j’eme ben a cercher après l’erreur qe n-i a entr les omes e les fomes. Figur’ous qe n-i a 40 coursous : 34 omes e 6 fomes. Vaila eune course maitië pâs creyabl eyou qe je some core a esperer qe n’iaraet de l’ajeu entr tertout e tertoutes !

Le Vendée Globe, une course grandiose

Le Vendée Globe, c’est la course de bateaux la plus connue ! Les marins les plus courageux prennent le départ pour un tour du monde. Mais attention, il y a des règles : une seule personne dans le bateau, aucune pause sur terre et aucune aide en mer. Voilà donc une course incroyable organisée uniquement une fois tous les 4 ans. Et c’est justement le 10 novembre que les sportifs sont partis. Ils vont rester environ 3 mois en mer et nous le savons, ce ne sera pas si facile de manger, s’endormir, se soigner ou encore se distraire.

Le coureur est tout seul sur son bateau, il est don chargé de la technique, d’étudier les cartes, de faire des choix selon la météo, la route à suivre… Le but est d’aller le plus vite possible sans que ce soit trop risqué. Bien sûr, c’est impossible de pas faire de courses, les premiers jours, le coureur mange donc de la nourriture fraiche mais après ce sont des boites de nourriture spéciale qui se conserve.

Difficile de récupérer ! C’est impossible de s’endormir car il faut tout le temps être attentif. Le coureur est habitué de jour comme de nuit à ne faire que des petites siestes, tout habillé. Il doit pouvoir s’endormir et se réveiller très vite. Pendant sa sieste, ça se mettra à sonner au moindre danger !

Il doit aussi se soigner en toute autonomie. Avant le départ, le coureur doit suivre un stage de médecine pour pouvoir s’en sortir. Au cas où ce serait vraiment trop important, il peut toutefois appeler un médecin.

Alors, le coureur est tout seul mais il a internet et de ce fait, il est toujours en lien avec la terre. Tout d’abord, deux fois par jour, les organisateurs de la course l’appellent pour voir si ça va. Et puis, il peut appeler ses proches comme il veut. On peut se questionner sur comment il fait pour l’hygième : tout d’abord il fait ses besoins dans un seau et il jette le contenu dans la mer. Il peut aussi prendre une douche en enlevant le sel de l’eau de mer.

Enfin, quelque chose de vraiment important, c’est de se distraire. Du coup, il a de la musique, des livres, des films… afin d’oublier le bruit qu’il y a sur le bateau. Une petite pause est indispensable ! Comme souvent, j’aime chercher la différence entre les hommes et les femmes. Figurez-vous qu’il y a 40 coureurs : 34 hommes et 6 femmes. Voilà donc une course vraiment incroyable où nous sommes encore à attendre l’égalité entre tous et toutes !

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