En Bretagne Sud, des pêcheurs se sont associés avec des chercheurs pour suivre l’évolution des populations de langoustes. Ils se sont aussi imposé des limites de capture.
Comment se sont-ils imposé ces limites ? A-t-il fallu légiférer pour qu’elles se maintiennent ?
Quelle incidence cela a sur les langoustes ? Ces nouvelles contraintes permettent-elles aux pêcheurs de vivre ?
Quelle est la participation et le statut des scientifiques dans ce projet ?
Dans les deux numéros précédents nous sommes partis des causes de la raréfaction de la langouste et nous avons détaillé les modalités de coopération pêcheurs et scientifiques. Dans cette troisième partie nous allons décrire les modes de gouvernance.
Avec :
-* Martial Laurans, biologiste à l’Ifremer au sein du Laboratoire de biologie halieutique
-* Olivier Thébaud, économiste, responsable de l’unité Économie maritime de l’Ifremer, Directeur de l’UMR 6308 AMURE (UBO, Ifremer, CNRS)
-* Erwan Quemeneur, fils de pêcheur et représentant des pêcheurs au comité départemental des pêches du Finistère.
Table ronde animée par Hervé Le Men, responsable de la mission médiation scientifique pour les Bibliothèques universitaires.