L'" opoponax " n'emploie ni le langage des adultes, ni celui des enfants ; ce n'est ni le romancier, ni un narrateur. Confrontant - dans un " on " mouvant - le " il " et le " je ", il semble bien les avoir annulés l'un par l'autre : cette voix qui parle au présent de choses très concrètes, qui s'affermit et se découvre elle-même peu à peu, ne serait-ce pas simplement la nôtre ?