En breton, le son des voyelles peut changer lorsqu'elles ne sont pas accentuées. Dans le mot « kaletez » par exemple, on doit mettre l'accent sur l'avant-dernière syllabe. L'accent tonique est tellement en breton que le « e » dans la dernière syllabe est presque insignifiant, il a perdu sa couleur. Et ce n'est pas fini, comme va nous l'expliquer Youenn Wloegen, au micro de Tunvezh Wloegen et Benjamin Bouard.