À l'heure actuelle, on n'est plus habitué à s'occuper des morts. On paye d'autres personnes pour le faire. Mais comment faisait-on autrefois dans les campagnes, à une époque où il n'y avait ni funérarium ni pompes funèbres comme aujourd'hui ? Les choses ont bien changé. On n'entendra plus parler d'extrême-onction, ni de veillée funèbre. On n'envoie plus personne porter les avis de décès d'une ferme à une autre. Nous avons été rencontrer Alice Le Coz à Pouldergat, afin qu'elle nous explique alors comment on s'occupait des morts autrefois, de la fin de la guerre jusqu'aux années 60.