Anouk Bertaux est historienne de l'art, à son compte depuis peu, après avoir rencontré des difficultés en tant que doctorante pour finaliser sa thèse au bout de trois années de recherche. Pourquoi ?
Son sujet dérange et peine à rentrer dans les bonnes cases pour l'Université française.
Anouk Bertaux partage néanmoins son savoir et ses questionnements dans des colloques, comme bientôt à Paris à l'occasion d'une rencontre sur les abolitions.
Oui Anouk s'intéresse à ce que l'humanité a traversé et traverse encore de pire en matière de barbarie : les crimes de masse, les genocides, les trafics humains, l'esclavage et les violences faites aux femmes qu'elle évoque aussi lors de l'émission.
En lien avec la Biennale Les Femmes dans l'Histoire, qui a proposé des conférences vendredi 23 et samedi 24 avril à Pontivy, Femmes de caractères tenait à mettre en avant le parcours très atypique et surprenant d'une jeune chercheuse originaire d'une zone rurale de montagne (Jura).
Au micro de Françoise Ramel, Anouk Bertaux présente son parcours et ce qui anime ses engagements en lien avec des artistes du monde entier.
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