Le romancier et essayiste Ricardo Montserrat disait à son propos que « Tout Quimper connaît Pont-Kamm, le chaos qu’est le bout de vallée dans lequel [il] a installé sa forge. Entre ferraille et décharge, champ de bataille et parc d’attraction destroy, son petit Hiroshima des désillusions du siècle, est un souk de carcasses, moteurs, engrenages, machines, qui rouillent, s’oxydent, crèvent la gueule en l’air, attendant que pris soudain d’une indignation tellurique, [il] leur redonne vie et en fasse un monumental pied de nez à la fatalité ». Breton en mode gros caractère, marin pêcheur, poète et sculpteur. Quartiers Solidaires reçoit Marc Morvan